L'agenda - épilogue numérancien
Laurent Aubin
https://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller%20Foundation.pdf
Ps: ah j’oubliais! oui la baffe Monjoie est bien un false-flag, une comédie à la hauteur de ses acteurs, comme la présidence, et la guerre de sécession à cessé c'est sûr! 加油
L'agenda - chapitre sixième l'intrigue
Si les événements trouvent pour partie leur origine dans la coïncidence, ils ne s'en trouvent pas pour le moins prédestinés. Tout dépend de qui les observe. L'histoire est un scenario forgé dans l'antichambre, plus tard. C'est sans doute ce qu'on a promu avec l'interactivité, et nous en avons tous les jours la preuve en allant "surfer" sur les réseaux sociaux, bravant le tracking et la censure, le quidam allant même jusqu'à ne jamais se départir de son mobile en aucune occasion! et si je vous disais que l'un des scénari duquel s'inspire l'opération résilience débutée en 2018 et produit par le John Hopkins Institue, le spars-pandemic, a été conçu principalement sur facebook?
Aujourd'hui je me sépare tranquillement des gafam, parce qu'ils ne me servent plus rien: les réseaux s'auto détruisent en me censurant constamment, soit explicitement, soit implicitement, techniquement. Ils sont construits sur une échelle quantitative et pas qualitative et sont donc voués à pervertir la réalité et servir les projets institutionnels, financiers, et militaires, ceux du crédit social. Nous entrons dans une nouvelle ère, la plus courte de l'histoire et dont le président bidon des Etats-unis a lui-même prédit hier que son pays serait d'ici neuf ans peuplé essentiellement de zombis, comme lui... à ceci, je dirais, tanpis. Et tanpis s'il est vrai que la compagnie de Jesus y est pour quelque chose! Il est toujours trop tard...
https://www.bitchute.com/video/br9BIWXE87kD/
Par delà la numérance, pseudopandémie, agenda21, ONU, World Economic Fundation et numérance....
Se pourrait-il que les numéranciens soient parvenu à leur fin occulte et qu'après avoir pris le contrôle de La trilogie numérancienne, prophétique ramassis d'inepties de 666 pages + 6 uniquement disponible sur amazon et que je déconseille formellement de commander, les protagonistes se soient emparé de la réalité socio-politique par l'intermédiaire des réseaux sociaux??
Quoiqu'il en soit vous pouvez les retrouver là où ils se doivent de figurer, sur facebook et youtube, des réseaux qui n'excèdent leur portée à aucun niveau... Et qui sait? poursuivre avec Dice et ses amis l'aventure par delà la numérance pour entraver l'inévitable holocauste?
https://www.facebook.com/groups/321500908247634
P.S. Un mot de Pantagruel que je pense plus que jamais s'appliquer au chinois-19 “science sans conscience n’est que ruine de l’âme.” Que Dice s'en inspire car nous faisons désormais face à deux plans de réalités, l'un qui ne l'est pas et l'autre un mensonge...
Pire qu'un quai de gare et moins cher qu'un billet de train, un thriller qui défigure!
La trilogie numérancienne,
-> The volume en Epub et PDF sur Kindle:
6 livres, 666 pages bouleversantes d'ineptie!
Un quai de gare dont on ne revient pas...
Pour Dice, la matrice, c'est quand la cramouille se chatouille, mais le détective est d'équerre...
"Ce livre est à l'usage des plombiers, bien sûr, mais de tous ceux qu'on dit adultes. Il débute dans une telle atmosphère d'obscène vulgarité qu'on conçoit difficilement qu'un enfant soit autorisé à le lire."
Une trilogie en six volumes dont on pourrait sortir indemne.
Tome I
Du rififi dans la numérance,
ou les tribulations de l'ange crétin.
Tome II
Quand la numérance se rebiffe,
Tome III
Razzia sur la numérance,
les dieux ne sont pas des anges.
Tome IV
Quand la numérance s'en balance,
à la poursuite de l'ange perdu.
Tome V
Quand la numérance se défonce,
ou la colère de l'ange bouffon.
Tome VI
Le retour de la numérance,
ou la malédiction de l'ange hexakosioihexekontahexaphobe
La trilogie numérancienne, six volume en un. Avertissement
Interdit en moins de 18 fois 37 pages
Les chiffres, compte rendu mathématique
(...) Les chiffres sont des fonctions, vectrices qui permettent de décrire l'agencement des formes et leur mesure, à l'infini. Infiniment approchés mais jamais arrêtés, il déterminent des ensembles et des directions et sont implacablement relatifs. Ce sont des ratios qui constituent le langage le plus pur et le plus neutre possible, le rationnel. Le terme de géométrie dont l'étymologie est grecque fut transmis par les égyptiens qui arpentaient à chaque décrue les terres enrichies d'alluvions du Nil afin de les redistribuer. Chaque année... Une affaire d'équilibre et de partage. De mesure entre un ensemble et des éléments. Les mathématiques sont donc inexorablement libres et tout être doué d'un cerveau en est dépositaire comme tout ce qui est. L'existence se proportionne selon un seul et unique modèle de base qui offre une infinité de variables mais se relate sur quelques constantes primordiales. Comme la lumière, projection réciproque, la constante absorbe.
Le savoir est un avantage, c'est aussi un gage de bonheur. Son lègue le plus précieux, la compréhension universelle, la tolérance et l'intelligence. Car, comme entre le cercle et le carré, le mouvement et l'espace, ou l'espace et le volume, il y a un lien indestructible entre l'informel et le formel, une approche tant rationnelle que synthétique de la vie et de l'ensemble de ses principes qui autorise chacun à envisager et réaliser en soi ce que l'on appelle la science commence à peine à entrevoir. Il n'y a qu'un A.R.N. et il n'y a qu'une existence en partage. Il y a un jeu de polarité, l'hexagone repose sur trois axes, c'est la vie. Il y a un jeu différentiel, le cerveau repose sur trois lobes par deux hémisphères (si l'on fait exception des lobes temporaux), Les maths expriment sur le plan leur nature circulaire. Et s'il devait y avoir une religion elle ne serait qu'arithmétique parce que la proportion s'explique d'elle même. Mais c'est de son langage dont le monde du vivant a besoin. Il passe par les chiffres... Le rationnel ne divise pas, il différencie. Les mathématiques partent nécessairement du postulat, comme du constat, que l'unité se proportionne. Ou de la proportion. Neuf chiffres suffisent à jalonner les voies intègres du chaos et si le cube des chiffres fait 2025, 94=6561... Comme neuf états de la matière dont six transitoires. Alors pourquoi se voiler la face plutôt que d'observer et s'offrir la possibilité de le transmettre? Nous sommes la matrice, notre propre langage. Un univers mathématique dont tous sommes voués à parcourir l'infinité, en connaissance de cause ou pas. Le diapason d'un émerveillement sans fin ni commencement, la réalité de l'ultime vibration de l'existence. Tout est nombre, tout est fréquences. (...)
Pire qu'un quai de gare et moins cher qu'un billet de train, un thriller qui défigure!
La trilogie numérancienne,
-> The volume en Epub et PDF sur Kindle:
6 livres, 666 pages bouleversantes d'ineptie!
Un quai de gare dont on ne revient pas...
Pour Dice, la matrice, c'est quand la cramouille se chatouille, mais le détective est d'équerre...
"Ce livre est à l'usage des plombiers, bien sûr, mais de tous ceux qu'on dit adultes. Il débute dans une telle atmosphère d'obscène vulgarité qu'on conçoit difficilement qu'un enfant soit autorisé à le lire."
Une trilogie en six volumes dont on pourrait sortir indemne.
Tome I
Du rififi dans la numérance,
ou les tribulations de l'ange crétin.
Tome II
Quand la numérance se rebiffe,
Tome III
Razzia sur la numérance,
les dieux ne sont pas des anges.
Tome IV
Quand la numérance s'en balance,
à la poursuite de l'ange perdu.
Tome V
Quand la numérance se défonce,
ou la colère de l'ange bouffon.
Tome VI
Le retour de la numérance,
ou la malédiction de l'ange hexakosioihexekontahexaphobe
Du rififi dans la numérance, ou les tribulations de l'ange crétin
Christ a dit: « Entrez par la porte étroite, car la porte large et le chemin spacieux mènent à la perdition et il y en a beaucoup qui y entrent. Mais la porte étroite et le chemin étroit mènent à la vie et il y en a bien peu qui le trouvent. » La géométrie sacrée révèle trois constantes trop longtemps ignorées, que je traduis par 10/7, 12/7 et 16/7. la croissance, l'informel et la régénérescence. Elles sont constitutives du rapport du vivant (et l'univers l'est irrémédiablement) sur le ratio primordial qui détermine la perception de la lumière, phi, le nombre d'or. Le nombre, cette matrice... d'aucun considère que la création se détermine sur un axe, et pi (22/7). effectivement une approche circulaire d'un centre inversement identique au contour. Mais, comme le dit notre protagoniste, qui pipe les dés périra par la pipe: il n'y a pas de hasard. Et croyez-le! Comme l'auteur, il détient le savoir depuis bien plus longtemps que toutes ces écritures, Dice l'a dit: mais quel est le con qui court après Platon? Et pour pas un rond.
" Cet ouvrage, ramassis d’un langage ordurier, laisse à César ce qui est à César : une dette, un fardeau. Si sa lecture ne s’avère pas insoutenable, c’est que c’est un échec et je ne peux dès lors que m’incliner plus humblement encore, et remercier le lecteur pour son courage, sa persévérance ou sa sympathie. Il contient par ailleurs de judicieuses remarques quant à la matrice numérique, son analyse et la raison pure. Ainsi que des reproductions de quelques un de mes travaux picturaux ou de dessins. Ce qui pourrait lui conférer un caractère aussi occulte qu’hermétique… à moins de s’y appesantir un peu."
Du_rififi_dans_la_numérance_extrait
Du rififi dans la numérance, extrait 2
Quand la numérance se rebiffe, le dernier des anges
Sur les chemins sinueux de l'informel, entre la vie et la mort, Dice, le détective inculte, âme pure égarée dans le chaos de la création n'a de cesse de répondre à la perpétuelle question. En quête bien malgré lui d'un Graal dont il ignore tout, de rencontres en rencontres et d'échec en échec, parviendra-t-il à trouver la vraie nature de son enquête? Il meurt beaucoup trop vite et la matrice s'emballe. Saura-t-il donner corps à cette intelligence qui anime le tout? Équilibrer ses rouages afin de libérer l'humanité en péril de l'oubli et sa fatalité? Au détours de ses incarnations, croisant enfin quelques quêteurs, il peut choisir une mission à sa hauteur: changer le cours l'histoire depuis les sphères atemporelles de la mémoire. Remodeler la destinée d'une humanité égarée dans le moteur virtuel d'une animalité méprisée. Mais saura-t-il à lui-seul accorder les violons, le connecteur logique de la pulsion et sa raison se mettra-t-il au diapason? Ou bien se heurtera-t-il au mur du la? Il lui faudra trouver le fil, et le toucher. Rendre aux échanges leur vraie nature et freiner l'accélération motrice de leur mesure, pour finalement se reposer en maîtrisant l'exponentialité, imponentielle. Car le clubbing n'est pas la voie unique.
"Il leur avait fallu s’armer de patience afin de comprendre par le code comment remédier le plus simplement possible à la déviation imprimée au cours du programme humain et s’entendre sur quel point l’errance de certaines de leurs âmes avait pu influer, tout naturellement, sur l’évolution cosmique et par voie de conséquence, sur son aboutissement. La perfection de ce langage étant telle qu’il est bien difficile de ne pas se méprendre sur son interprétation, pour des points de vue aussi multiples que partiaux. On ne déchiffre pas sans chiffrer."
Quand_la_numérance_se_rebiffe__le_dernier_des_anges_extrait
Razzia sur la numérance, les dieux ne sont pas des anges
Le lecteur averti ne s'y trompera pas, Dice demeure un crétin. Mais n'est-il pas tributaire de son propre milieu? À l'obscène paroxysme de sa juvénile candeur, l'iconoclaste a pour le moins le mérite d'un courage exemplaire. En aucun cas ne céder à la tentation d'un inutile labeur, soigner le mal par le mal, vivre sa vie plutôt que de survivre, s'élevant de lui-même comme un ballon d'hélium pendant le carnaval. Car cette apparente témérité n'est-elle pas le fruit d'un comportement mûrement pensé, à force d'honnêtes constats et d'un esprit quelque peu demeuré qui a tant enduré? Et, finalement, n'est-ce pas son créateur le plus fautif? Je m'interroge...
Razzia_sur_la_numérance_extrait 1
Razzia_sur_la_numérance_extrait_2
Razzia_sur_la_numérance_extrait_3
Quand la numérance s'en balance, à la poursuite de l'ange perdu
Un soir d'automne, il faisait froid. Et j'étais seul. Il est d'ailleurs recommandé d'être seul pour écrire. Non parce que c'est ce qu'il se dit, mais parce que, vraiment, se concentrer en recevant des amis, ou assailli par une ribambelle d'enfants qui hurlent comme des sauvages en vous prenant pour un clown, un grand-père ou une cible vivante lorsqu'on se mortifie déjà tant tout à son propre maintien, bref, prendre la plume en faisant l'amour ou de la rhétorique, paraît assez déraisonnable. C'est une donnée stable et que j'ai acquise par expérience, il n'est de point focal qui tienne sans contraction comme de temps disponible sans aucune condition. C'est une affaire de langage au fond; quand j'écris, je transcris suivant des arbitraires posés à la croisée des chemins, j'amène mon propos aux portes mêmes du réceptacle. C'est très précis. Et c'est sans doute pour cette raison que les toilettes sont souvent plus propices à l'inspiration, et bouchées d'ailleurs...
Quand_la_numérance_s'en_balance,_à_la_recherche_de_l'ange_perdu extrait 1
Quand_la_numérance_s'en_balance, à_la_recherche_de_l'ange_perdu extrait 2
Quand la numérance se défonce, ou la colère de l'ange bouffon
"Ça n'était pas un sourire. C'était tous les sourires du monde. Un ultra-son, et un infra aussi, une bouffée de chaleur et d'oxygène, un arc-en-ciel et tout l'azur du ciel, l'expression du plaisir. C'était la source! Je n'eus que le temps de fermer distraitement la porte du frigo. Mes bras devaient être quelque part au sol, mes pieds s'en étaient allé et mes mains furtives se dérobaient sournoisement. Et Dice, dont même le sourire amusé me semblait bienveillant m'en aurait certainement été témoin, je ne suis pas homme à perdre mon sang froid! Même si, je le concède, nul créateur n'est que de bois...
-...Par quel ravissement le magie de votre luminescente apparition me vaut sortilège?
Pourtant, très affairé dans la kitchenette, ma progéniture psychique s'en mêlait déjà, riant aux éclats en déballant ses commissions. Et dire que je l'avais finalement évincé. Même après quatre volumes, la trilogie avait enfin cessé."
Le retour de la numérance, ou la malédiction de l'ange hexakosioihexekontahexaphobe
"Joe était donc resté là, derrière la porte. Il reluquait les fesses de ma compagne en se tripotant sur le palier quand son regard croisa le mien. Les deux bras en avant, le voilà qui avançait tel un spectre ou un somnambule un peu ivre. Il allait nous enlacer. Et puis, ce souffle d'une formidable puissance. J'ouvrais un œil.
Le plus délicat, c'est de ne jamais parvenir à achever la scène, au réveil, quand la lumière du jour appel le corps, parce qu'on le sait bien: ça n'arrive jamais. L'analyse prend le relais du rêve, comme pour le conjurer et mieux se justifier. C'est comme ça. Mais tous les réveils sont différents. "
"Diable! C'était donc ça: Ma créature avait nourri une sorte de vengeance suicidaire, il était carrément hexakosioihexakontahexaphobe! L'unique raison de notre disparition, et du coup de ma séparation d'avec ma charmante compagne résidait dans sa terreur du nombre, la sienne et celle de tous ses comparses... les miennes donc. "
"Contemplant l'écran, j'avais le sentiment d'être le jouet de ma propre supercherie.
- Oui Joe, nous le savons bien, la vie est le plus merveilleux des mensonges parce qu'infiniment plus vraie que nature, elle est radicalement contraire à la réalité. D'ailleurs, en principe, tu n'existes plus.
- Oui, si tu n'existais pas..."
Bref, achetez la trilogie, 6 volumes en 1, 666 pages de bêtise initiatique
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"Lisez-moi, je vous revendrai la bombe A (Le spectre, déviations géodésiques)" © Laurent Aubin 2014
Disponible en Epub et PDF: cliquez sur l'image
"
Pourquoi écrire sur un domaine relevant de la physique quantique? Pour deux raisons consécutives: parce que cette discipline s'évertue à corriger une erreur fondatrice de l'abstraction mathématique moderne et que je me suis attelé à la corriger, humblement, je ne m'y reconnais pas. Ceci à l'air désuet en comparaison de l'ampleur des problèmes sociétaux auxquels l'humanité doit faire face, pourtant il s'agit de la conception même de l'existence et de sa réalisation... de mon point de vue. Une dérive ancestrale et conceptuelle dont il reste au plus grand nombre à prendre la mesure et ses implications sociologiques en terme médical, d'enseignement, et d'art sont aussi infiniment variées que profondes à mon sens. Car concevoir la réalité sous son seul aspect viable ne se fait pas dans la réplication simiesque d'un mimétisme systématique, c'est réformer radicalement la façon dont s'envisage communément la relation au monde. Et c'est urgent: si l'âme et l'univers sont d'ordre magnétique, ils ne se réduisent pas à une industrie robotique.
Ce travail part d'un constat simple: nous nous sommes trompé de langage. À tous les niveaux et dès le plus jeune âge, nous avons omis quelques données de base. Elles sont arithmétiques, ni plus ni moins... si ce n'est géométrique et donc arithmologiques. Oubli pourtant inscrit au patrimoine génétique de l'humanité.
J'approche ici le spectre depuis ses rudiments arithmétiques, tel que posés depuis l'antiquité, par 9/8. La mesure la plus exacte et juste des sons en terme d'amplitude et la plus imparable: je la pousse au-delà. Mais la dérive la plus sournoise en matière de proportion. Celle qui a conduit notamment Bonaparte à imposer le système métrique au détriment des mesures hexagésimales et occulté les fondements mêmes des systèmes usuels de numération. Celle qui a fait du monde un jeu de monopoly virtuel aux mains des religions et relégué la connaissance humaine au rang d'ésotérisme... pour cause d'obscurantisme. Enfin, celle qui a fait de ratios considérés à tort comme primordiaux, tels que pi et 0, le socle de la négation, d'une société exclusivement financière et d'une économie virtuelle. Bref, une soif d'expansionnisme intarissable qui dépossède l'individu de ses facultés cognitives, son seul bien, et, privé de sa vraie dimension, le mène tout droit à l'abattoir. Déviation géodésique d'ordre décimal infiniment rectifiable, de 9/8 à 9/7 l'amplitude estompe la fréquence.
.
Mais qui ceci pourrait-il bien intéresser? Disons que j'en ai comme une vague idée. À peu près tout le monde, car ne pas se pencher sur la nature de la création, c'est déjà ne plus exister. De l'infra-rouge dans lequel baignent nos neurotransmetteurs jusqu'à l'ultra-violet du rayonnement cosmique, il n'y a qu'un pas dont même l'amplitude est colorée. C'est celui que je propose de franchir ici, et sans se déplacer pour autant, ni rendre l'âme, évidemment.
Rechercher une vérité, c'est parcourir une réalité, celle d'un ensemble de simulacres. Et c'est d'ailleurs la signification du mot spectrum en latin. À bien y regarder et morphologiquement, c'est un vocable qui me correspond assez bien finalement. Mais qu'entend-on par spectre? « L'ensemble des rayonnements de différentes longueurs d’onde, qui résultent de la décomposition de la lumière par un prisme » entre autres... Il n'est rien de plus délicat que d'arrêter une terminologie car toute limite est amplitude et elle s'avère très relative. C'est pourquoi j'aborde le sujet (comme tous) par les nombres. La racine du langage est bien le plus neutre qui soit, donc le plus juste. Parler de création c'est aborder le spectre et ses simulacres. J'évite ici l'acception « mathématiques » car elle n'échappe pas à la règle, galvaudée comme toute autre, mais empreinte d'autant de vocables et codifications qui ne correspondent pas nécessairement précisément à mon approche, arithmo-géométrique.
Si j'envisage le spectre, c'est son intégrité qui m'intéresse, pour moi il n'y en a qu'un, comme il n'y a qu'une cellule, un organisme et un A.D.N., une seule onde. C'est un constat « mathématique ». Bref, une matrice. Il n'y a qu'un paradoxe, infiniment multiple. Celui qui fait notamment qu'une quinte augmentée ou un sol# peut s'avérer bénéfique pour l'organisme alors que dans son amplitude, sa fréquence harmonique marron-rouge est discutable d'un point de vue culinaire (acides, le cacao et le café sont néanmoins riches en magnésium). C'est en outre la couleur de la choroïde qui absorbe les rayons lumineux. L'œil est un prisme et sa fonction est de percevoir les longueurs d'ondes lumineuses depuis les infra-rouges jusqu'aux ultra-violets. Un ensemble d'amplitudes intermédiaires sur lequel cette couleur ne se répartit pas franchement chromatiquement, et dans laquelle le globe oculaire aurait une fâcheuse tendance à s'allonger sous la pression hexagonale des muscles qui l'enceignent. Tout comme la proportion, l'observation est de nature fractale, mais pas exclusivement. C'est par son intensité que l'onde se manifeste. La lumière est constante, le prisme est polymorphe." (...)
proportions et académisme
Au milieu du XIXème siècle apparaît la photo. Les artistes peintres n'auront de cesse d'être en quête de la compréhension de la nature de leur créativité. Entre la reproduction d'un bagage technique, transmission académique et partielle d'un langage essentiellement mathématique tout aussi partiellement intégré, et une création dont la déclinaison repose sur la recherche d'un maillon manquant d'ordre à priori subjectif. L'erreur est porteuse pour qui conçoit la nature de cette part créative qui consiste à se départir de préceptes ou d'axiomes: erreur ou disgrâce? erreur en terme de proportion, disgrâce en matière d'aboutissement: accentuer l'aspect paradoxal d'un sujet, comme une caricature porterait à la récurrence. Ici, c'est Corot, pas le copiste, qui avait démesurément placé le nombril trop haut et le sexe trop bas. J'ose présumer que c'était volontaire, vu la posture de ce modèle raphaëlien. Quelle pire disgrâce que de ne pas se sortir d'un casse-tête? qu'on me pardonne, je l'ai trouvé inachevé, le nombre d'or suggère d'autres constantes et des variables, bien au-delà de l'empirisme...
et de la rue
L.A.