L'agenda - chapitre troisième

Chapitre trois - unité de temps

Quelle drôle d'époque pétrie d'affinités d'outre tombe, impensables collusions et qui obscurcit tous les profils, confond les événements et leurs protagonistes, surtout à qui ne suit pas le fil financier, le nerf de la guerre. On croirait que l'argent supervise le temps! La famille Rothschild aurait pris sa retraite, d'ailleurs qui connaissait sa puissance et savait-on qu'elle était aussi liée au Hanovre? où l'on apprends que toute la junte financière est endogame autant que gorgée de sang bleu et que la dite autorité sanitaire ne représente rien d'autre que les armes dérobées d'un héritier au troisième degré, apparenté à John D. Rockefeller? La caste dirigeante du XXème siècle qui a crée le nazisme autant que le bolchevisme, entretenue à grand renforts de fausses monnaies, un culte ancestral voué aux bains de sang et à la manipulation du génome. Celle-là même qui détenait la puissance du Vatican et de l'Empire Britannique et qui succédait à Rome. En effet, le temps se dilue dans les gênes.

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Ne voit-on pas le peuple abasourdi courber l'échine devant le télécran et brandir son smart phone, s'affubler de masques comme les courtisans portaient naguère les perruques ainsi que leurs enfants et vénérer le caducée? C'est bien le sceptre de ceux-là même à qui il est soudainement convenu de jurer allégeance, et dont le couple princier des ténèbres porte le curieux nom de "portes", "portails" ou Gates ! Oui, ce sont des temps obscurs que l'humanité achève de traverser. Cinq guerres mondiales au bas mot aboutissent aujourd'hui d'un coup, sans que personne ne s'en fut aperçu. Le monde découvre qu'il ne sait rien, qu'il est en passe d'éradiquer toute vie terrestre, ou de comprendre la nature de l'eau et de l’énergie libre, de la maladie comme de l'équilibre, en bref ce qu'est l'échange et donc la corruption. De tout ceci, nul ne semblait donc en avoir jamais eu aucune idée!

Pourtant certains ont bien vécu cette guerre et quant aux plus vieux d'entre eux, celle qu'on appelait la seconde guerre mondiale. Je croise souvent et depuis peu quelqu'un qui a rejoint la seconde division blindée du général Leclerc le lendemain du jour où mon père reçu cette rafale qui le défigurait. Quelle coïncidence en ce lieu reculé mais plus proche de la dite poche d'Alençon que de ma ville natale. Et en ces temps apocalyptiques! Étrangement, il me comprend plutôt bien et semble concevoir aussi que souverainistes (et pas seulement D.J. Trump, V. Putin ou Xi Ji Ping) s'opposent au globalisme... nous vivons un temps au cour duquel l'élément se positionne au sein du groupe. Le quidam n'a d'autre choix que de s'identifier pour le salut de notre société humaine, en vrai! Et donc, j'y reviens, mon père n'avait gagné qu'une bataille. Il avait renoncé aux grandes écoles et refusé de prêter serment à Pétain avant de passer en Espagne. En fait, et c'est ce qui m'a sans doute prédestiné, il a du renoncer à tout. Non cette guerre n'est pas gagnée, elle est atemporelle, c'est celle de l'intégrité sur la corruption, du déni sur la tolérance de la guerre contre la guerre. C'est une guerre de position aussi bien que de mouvement que les pacifistes accomplis remporteront évidement car ils se positionnent sans se ranger, ils ne possèdent rien, heureux dépositaires de l'existence qui revendiquent le droit à avorter seulement un génocide, celui de la connaissance et de ses détenteurs, les plus âgés pour commencer. On ne peut perdre quand on n'a rien.

C'est donc pour le moins une guerre qui dure, celle du refus de la responsabilité personnelle contre l'obéissance et de l'abnégation face à la possession. S'agit-il bien d'une guerre? et bien non, même pas d'un conflit, juste d'une opposition. Polariser pour gouverner. En réalité je vois cinq guerres mondiales passées s'enchevêtrant. La première dura sept ans, opposant tout d'abord Prusse et Autriche, Grande Bretagne et France qui y perdit sa prépondérance territoriale. La seconde, celle de sécession s'achève aujourd'hui. Elle opposait les grands trésoriers de l'Empire aux volontés souveraines d'états confédérés épris de liberté. La troisième, toujours à l'initiative des mêmes, fut celle qu'on appelle la première, et la quatrième la seconde. La défaite "mondialiste" du groupuscule mafieux de ploutocrates endogames en Syrie mis fin à la cinquième qui défit le vieil empire d'occident... gagnerons-nous la sixième? ce n'est pas une guerre contre le temps, ni même une guerre contre nous-même, mais le démantèlement de ses obscurs vestiges, de ce que nous appelons nos civilisations, vieille matrice de nos institutions corrompues. Tout semble encore affaire d'unité.